Le problème de l'écart d'exécution : l'utilisation des avis d'évaluation lors des levées de fonds | SRV
Disons qu’une startup investit pour faire évaluer sa valorisation et dépense entre 15 000 et 50 000 dollars.
C'est solide.
Elle s’appuie sur une méthode crédible.
Il est produit par une entreprise réputée.
Cela reflète une juste valeur marchande pour le prochain tour.
Mais maintenant quoi ?
L’évaluation ne conclut pas l’affaire.
Les fondateurs sont toujours confrontés à un écart d’exécution : l’espace entre l’anticipation, la préparation, l’évaluation et les résultats réels.
Le chemin vers le lancement d’une transaction est rempli d’incertitudes :
- Qui validera le numéro ?
- Un investisseur principal interviendra-t-il et ancrera-t-il le tour ?
- Les fondateurs ont-ils la crédibilité nécessaire pour poursuivre cette démarche ?
- Les conseillers ou les intermédiaires vont-ils intervenir ou intervenir ?
Pour de nombreuses startups, la valorisation finit par rester sur une étagère.
Le coût est irrécupérable. L'affaire ne se conclut pas. Le temps presse.
Il ne s’agit pas de rapports erronés.
Il s’agit de prendre conscience que même la meilleure documentation ne peut pas résoudre le problème principal lorsque l’évaluation est utilisée de manière isolée lors de la collecte de fonds.
Le problème ? La valorisation seule ne crée jamais de levier de financement.
La traction est le résultat des actions des fondateurs, présentes et passées, ainsi que des commentaires des clients, de l'adéquation produit-marché et du mouvement plus large du marché.
L’évaluation est simplement le document qui capture et illustre ces fondamentaux, mais elle ne peut pas les remplacer.
Prochainement :
👉 L’exécution du financement n’est pas un acte solo.
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